Le big boss d’OpenAI a peur des risques de l’IA
« Nous avons un peu peur » a-t-il déclaré récemment à la presse, au sujet des risques liés à l’IA.
Tout d’abord, Sam pointe du doigt la concentration du pouvoir chez quelques acteurs. Si l'accès à l'IA reste limité, les inégalités économiques et technologiques vont grandir, avantageant les entreprises et gouvernements déjà puissants.
Il parle aussi des risques d'utiliser l'IA pour des actions malveillantes ou éthiquement douteuses. Entre fake news, deep fakes ou manipulation de l'opinion publique, l'IA peut faire des dégâts, sans oublier la surveillance de masse et les atteintes à la vie privée.
De plus, les IA peuvent renforcer les biais et discriminations existants si on ne fait pas attention. Les données d'entraînement peuvent contenir des biais historiques ou sociaux, menant à des décisions injustes.
Sam est également conscient que l'IA permet d’automatiser beaucoup de jobs, et pense que ça pourrait causer une perte massive d'emplois, surtout pour les travailleurs peu qualifiés. Il faut s'adapter et se former pour une économie tournée vers l'IA qui va générer de nouveaux types métiers qui n'existaient pas il y a 12 mois, et donc de nouvelles opportunités.
Sam craint une course aux armements dans le domaine de l'IA, avec des nations cherchant à développer des technologies de plus en plus avancées et potentiellement destructrices. Ça pourrait déstabiliser la sécurité internationale et augmenter les risques de conflits.
Pour limiter ces risques, Sam insiste sur la coopération internationale, la régulation et la recherche en éthique et sécurité de l'IA. OpenAI veut développer une IA utile à l'humanité et met en place des protocoles pour minimiser les dangers et partager les bénéfices. En étant vigilants et en collaborant, nous pouvons faire en sorte que l'IA soit un outil responsable et bénéfique pour tous, afin que chacun profite des opportunités qu’elle procure.
Source: Morning Web3