New York frôle la paralysie totale : 300 000 cartes SIM clandestines découvertes à quelques kilomètres de l’ONU !

Une opération secrète menée par les services américains a permis de déjouer un plan d’une ampleur inédite : des centaines de milliers de cartes SIM prêtes à inonder les réseaux et paralyser les communications. En pleine Assemblée générale de l’ONU, la catastrophe a été évitée de justesse.

Une découverte digne d’un film d’espionnage

C’est une découverte qui aurait pu plonger New York dans le chaos absolu. Des centaines de milliers de cartes SIM ont été saisies par les services secrets américains le 23 septembre dernier, en pleine Assemblée générale des Nations Unies.

Au total, 300 000 cartes SIM ont été retrouvées dans plusieurs appartements vides de New York et des États voisins. D’abord, 100 000 SIM et 300 serveurs ont été découverts à moins de 60 kilomètres du siège de l’ONU, puis 200 000 supplémentaires dans le New Jersey.

Une “ferme SIM” capable de semer le chaos

Ce type de dispositif, surnommé ferme SIM, s’est multiplié dans le monde ces dernières années. Très prisé par les hackers russes et ukrainiens depuis le début de la guerre en Ukraine, ce système permet de simuler des milliers de téléphones virtuels capables d’envoyer des messages, de passer des appels et même d’interagir sur les réseaux sociaux.

Chaque serveur héberge des centaines de cartes SIM, formant une armée numérique capable de manipuler les communications à une échelle colossale.

Des usages aussi variés que dangereux

  • Amplifier artificiellement la popularité d’un compte sur les réseaux sociaux
  • Diffuser massivement de fausses informations
  • Mener des campagnes de harcèlement
  • Saturer les lignes d’urgence comme le 911
  • Organiser des escroqueries à grande échelle
“Imaginez 100 000 numéros appelant le 911 simultanément : impossible pour un vrai appel d’urgence de passer”, a déclaré une source proche de l’enquête.

Selon les premiers rapports, le réseau était capable d’envoyer jusqu’à 30 millions de SMS par minute — de quoi paralyser instantanément la communication d’une ville entière, voire d’un pays.

Une logistique quasi étatique

Acheter quelques dizaines de cartes SIM n’a rien d’extraordinaire. Mais en acquérir 300 000, les connecter à des centaines de serveurs et les maintenir actives simultanément ? C’est une autre histoire.

Les enquêteurs parlent d’une organisation quasi militaire, parfaitement préparée et dotée de moyens considérables.

Pour le moment, aucune arrestation n’a eu lieu. Impossible également de déterminer si l’Assemblée générale de l’ONU était une cible directe. Mais l’hypothèse inquiète au plus haut point les autorités : une telle attaque aurait pu désorganiser les secours, brouiller les communications diplomatiques et détourner l’attention en cas de crise.

Des pistes qui mènent loin

Les pistes explorées par les services américains mènent vers plusieurs directions :

  • Le crime organisé
  • Des mouvements terroristes
  • Et même des gouvernements étrangers

Selon des sources citées par ABC et CBS, le réseau découvert présenterait des liens possibles avec des cartels de la drogue, des réseaux de traite humaine et des groupes originaires de Chine.

“C’est peut-être aussi un message”, explique un expert en cybersécurité. “Montrer qu’ils peuvent frapper n’importe où, même au cœur de la plus grande puissance mondiale.”

Face à l’ampleur de la menace, le Département de la Sécurité intérieure (DHS) a déclaré qu’une enquête criminelle nationale était désormais en cours et que la vigilance serait renforcée.

Conclusion : la guerre numérique a déjà commencé

Cette affaire marque un tournant dans la guerre numérique mondiale. Si les services américains n’avaient pas agi à temps, New York aurait pu devenir le théâtre d’un blackout technologique sans précédent.

Derrière les écrans et les antennes, une vérité s’impose : la prochaine guerre ne se livrera peut-être plus avec des bombes, mais avec des cartes SIM.

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