Cameroun : des élèves d'un lycée décident de monétiser leur s€xt@pe

Selon Griote TV, quelques des 38 élèves du lycée bilingue de Déïdo seraient incarcérés à la prison centrale de New-Bell à Douala. Ceci fait suite à la vente de leur vidéo ér0tique à une plateforme nigériane de films pour adultes.
Image archives en guise d'illustration.

L'affaire fait grand bruit au Cameroun depuis l'annonce par nos confrères de Griote TV. Des apprenants du lycée bilingue de Déïdo, dans le premier arrondissement de la ville de Douala se seraient filmés en plein ébats sexuels en milieu scolaire. Pis. Ces élèves en quête de visibilité, sont envahis par la part du gain facile. Après l'acte obscène, ils prennent l'initiative de monétiser la vidéo à caractère porn0 auprès d'une chaîne de films X, installée au Nigéria. Notre source nous renseigne que les faits ne se seraient pas déroulés cette année 2023.

L'usage abusif des réseaux sociaux tourne de plus en plus aux scandales au Cameroun. Malgré l'appel des autorités locales à une utilisation responsable des réseaux sociaux et autres plateformes numériques par les jeunes, ces derniers semblent fouler au pied ce conseil au profit de la vulgarité. Partouzes et sextapes font désormais partie des vocabulaires populaires au Cameroun et un peu partout en Afrique. 

En dehors du lycée bilingue de Déïdo en vitrine, plusieurs autres établissements ont brillé par des actes de p0rnographie à ciel ouvert. C'est le cas des lycées bilingues de Bafoussam, Kribi et le lycée d'Ekounou à Yaoundé. Des scènes obscènes qui interviennent seulement trois jours après la célébration par le Cameroun de la Fête de la Jeunesse. Bien avant, la veille dans son traditionnel Message à la Jeunesse, le président Paul Biya invitait cette tranche d'âge à se tourner vers l'auto-emploi en saisissant les opportunités que leur offre un secteur comme l'économie numérique. Cette recommandation du chef de l'État camerounais serait-elle tombée dans les oreilles de sourds ? Just see...

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