Le Cameroun sous le regard de la providence : Paul BIYA, gardien de la paix face au chaos
Les récentes turbulences électorales ont rappelé à la Nation camerounaise la fragilité de la paix et l'importance cruciale d'une autorité stable et protectrice. Tandis que des voix s'élevaient pour semer la discorde, la foi de nombreux Camerounais s'est ancrée dans la conviction profonde : Dieu veille sur le Cameroun avec son envoyé, le Président Paul BIYA.
I - La tentation du chaos et l'ombre de la subversion
Le climat post-électoral a mis en lumière une réalité troublante : l'instrumentalisation du discours religieux et la proximité de certains hommes d'église avec l'arène politique la plus partisane. Des figures comme Monseigneur Kleda et l'evêque de Yagoua, par un appel choquant au diable à la tête du Cameroun - une expression qui a scandalisé les fidèles - ont dévoilé une opposition politique active et parfois virulente.
À cette logique s'ajoute celle de l'evêque de Bafoussam, dont les prises de position critiques et récurrentes s'inscrivent clairement dans la même logique d'opposition. Ces hauts dignitaires se cachent derrière la bible et l'autorité morale de l'église pour mener une bataille politique qui devrait pourtant se dérouler sur la place publique. En transformant la chaire en tribune et le message spirituel en critique partisane, ils se positionnent, de fait, comme des acteurs politiques, minant la neutralité requise par leur haute fonction.
Cette dérive est d'autant plus choquante que l'église au Cameroun bénéficie de nombreux avantages octroyés par l'État. Ces privilèges incluent souvent des exonérations fiscales, notamment le fait de ne payer ni impôts ni douane pour certaines de leurs activités et importations. Cette situation crée un dilemme moral et républicain : comment des institutions jouissant d'une telle largesse de l'État peuvent-elles simultanément abriter et légitimer des discours de subversion ?
Le danger est palpable : la rhétorique de la rupture a trouvé son écho dans les actes concrets de subversion. L'appel au diable a tenté de se matérialiser à travers le chaos insurrectionnel orchestré par Issa Tchiroma Bakary. L'entrée de cette force dévastatrice, symbolisée par les pillages et les destructions, aurait pu faire basculer le pays dans la guerre civile.
II - Paul BIYA : l'envoyé de Dieu pour la paix et la stabilité
Face à cette menace spirituelle et civile, la Nation a trouvé refuge dans la constance de son leader. Le Président Paul BIYA s'est toujours érigé en figure tutélaire de la stabilité, prônant inlassablement la paix, l'unité et le vivre-ensemble.
Sa réélection, validée par les institutions républicaines, est perçue par beaucoup comme un signe de la providence. Dans la tempête du désordre semé par les putschistes politiques et leurs alliés religieux, la sagesse, le calme et la main ferme du Président Biya ont permis au Cameroun de rester ancré.
C'est cet envoi divin, symbolisé par la continuité et la défense inébranlable des institutions, qui a permis de repousser cette menace. Le diable a voulu faire son entrée à travers l'insurrection dévastatrice de Tchiroma et ses complices ; heureusement, Dieu veille sur le Cameroun et a fortifié la main de son leader pour guider le pays vers la sérénité.
Alors que les fauteurs de troubles (politiques et religieux) devront répondre de leurs actes et de leur manque de cohérence, le Cameroun doit désormais se rassembler. La Nation est appelée à se souvenir que la vraie vocation de l'église est spirituelle, et que le rôle du Chef de l'État est de garantir la cohésion et la sécurité. Continuons à faire confiance à la providence et à son envoyé, le Président Paul BIYA, pour guider le Cameroun vers un avenir de paix durable.
Par Jean Gatsi
Coordonnateur de la Convergence Républicaine et du G 80.






