Claude Djankaki : « Le V@G1n De La Femme Est Un Temple De La Sorcellerie »
« Chères toutes et chers tous, il faut aider à amplifier le son sur l’interdiction du culin**gus dans le code de bonne conduite des africains au regard du culte des ancêtres.
Ça fait partie aujourd’hui des vices qui concourent à la dépravation des mœurs, la drogue et l’alcool pour certains. Le goût à l’achat des whiskys, des cocas-colas à des prix hors-normes dans les bars et boîtes de nuit. L’organe génital de la femme est sacré et vénéré. C’est cet organe qui donne la vie. Pour avoir accès, parfois il faut s’agenouiller très respectueusement.
Notre compatriote Eustache Hessou aurait avouée à juste titre une vérité sur le v@ gin de la femme qui a malheureusement soulevé une polémique inutile. En disant que le v@ gin de la femme est un temple de la sorcellerie, il a soulevé un aspect que nous connaissons tous, mais par l’hypocrisie collective qui caractérise l’homme, c’est désormais un sujet tabou.
Qui d’entre nous en Afrique ou ailleurs dans le monde n’a pas peur de la malédiction de la femme appelée affectueusement Minon-nan ? Nous savons tous, lorsque la femme est mal traitée, violentée, abusée sans raison valable, à l’occasion de la toilette intime chaque matin, l’auteur finit toujours par rendre gorge c’est à dire à payer au prix fort cette dette.
De la même manière, si la femme abandonne l’homme qui a toujours l’amour pour elle , un rituel spécifique du s*xe, pourrait faire débarquer sous huitaine la femme ou l’homme au foyer. Quand un enfant oublie l’entretien de sa maman, un rituel spécifique avec le sein gauche peut faire revenir l’enfant à la raison. S’occuper des parents lorsqu’on a les moyens est un devoir sacré.
La source de certains blocages et certaines maladies incurables que nous trainons ont des origines lointaines. Faisons gaffes. On ne démocratise pas ce qui est par nature sacrée et inviolable. Respectons la tradition, nos us et coutumes pour mériter le bonheur à travers une vie tranquille, paisible et décente. »
Dah Claude Cossi Djankaki , Chercheur en spiritualité et tradition ancestrale