Allégations au Cameroun : La bande à Fridolin Nke est-elle sérieuse lorsqu’elle tente de dénigrer le recteur de l’Université de Yaoundé I ?
Le Pr. Sosso dont la personnalité, la moralité et les parcours académiques et professionnels sont "clean" et traçables dans le milieu de l'enseignement supérieur est un exemple à suivre. Maître de conférences depuis l'âge de 37 ans, il est l'un des plus jeunes Doyen de la Faculté de Médecine en 1993. La carrière administrative démarrée comme Directeur des Affaires Académiques de l'Université de Yaoundé I se poursuit aujourd'hui au sein de la même institution avec le poste de Recteur qu'il occupe depuis 2012 après avoir assuré les fonctions d'Inspecteur Général des Services au Minesup avec satisfaction de la hiérarchie. Son passage au CAMES comme Président du Comité Consultatif Général et Président des jurys de la section Chirurgie des concours d'Agrégation de Médecine a fait tâche d’huile.
Les distinctions honorifiques du Pr. Sosso sont aussi nombreuses et importantes qu'on s'en tordrait le cou à tous les aborder à la fois. Il est plusieurs fois Officier et Commandeur de l'Ordre de la Valeur au Cameroun et à l'international. Les distinctions d'Officier de l'Ordre de la valeur du Cameroun en 2002, d'Officier de l'Ordre des Palmes Académiques Françaises en 1998 et Commandeur de l'Ordre International des Palmes Académiques/Cames en 2017 sont quelques illustrations. Un tel parcours n'est pas possible dans le faux et les inepties racontées. Sinon, dans les têtes des affabulateurs comme le très douteux "Dr. Nke" et compagnie.
L'Apôtre de la révolution universitaire
A l’Université de Yaoundé I où le recteur, Pr. Maurice Aurélien Sosso officie depuis plus d’une dizaine d’années, même les aveugles témoignent la véritable révolution universitaire opérée dans divers domaines. Il a su mettre en œuvre la gouvernance universitaire prônée par le Chef de l’Etat, S.E Paul Biya à travers entre autres l'amélioration des œuvres Universitaires (les repas, les logements, l'assurance), la dématérialisation des procédures d'admission, la valorisation du leadership estudiantin qui sont effectives sur le plan managérial. Au plan académique, la numérisation et la professionnalisation des enseignements, la télé évaluation, l'amélioration du Ranking de l'Université de Yaoundé I sont des innovations qui portent sa signature.
La cabale : pourquoi maintenant ?
Alors que depuis le début de sa très riche et longue carrière le nom du Pr. Maurice Aurélien Sosso n’a jamais été cité ni dans des histoires de secte, de mœurs ou autre insanités avancées, une catégorie de d’individus dont Fridolin Nke, Gaston Ndock Ndock et Damaris Mandob ont entrepris depuis deux ans déjà de lui ternir son image durement façonnée par le travail et la rectitude morale. On se demande bien pourquoi maintenant et que lui reprochent-ils ?
Le problème est que le Pr. Sosso a trouvé à l’Université de Yaoundé I, des personnes sans vocation universitaire dont fait partie l’équipe à Nke. Ils sont conscients de ce qu’ils ne sont pas à leur place dans ce haut lieu du savoir qu’ils cofondent au sous-quartier avec des comportements non-éthiques, eux qui au départ avaient prédit son essoufflement prématuré. Sauf qu’ils n’avaient pas idée de la résilience de l'homme. Ils apprécient mal la détermination du recteur à assainir le milieu Comme le souhaite le Président de la République qui lui a déjà plus d’une fois renouvelé sa confiance.
Il est clair que ces quidams entrés à l’université par effraction, ne supportent plus la ténacité et la persévérance à bien travailler du patron des lieux. Ils s’impatientent de le voir partir pour pouvoir continuer l’imposture, d’où tous les noms d’oiseaux qui lui sont collés aujourd’hui.
Des tricheurs donneurs de leçons ?
« Les tonneaux vides font beaucoup de bruit », voilà la conclusion qu’on peut tirer à l’observation des agissements des auteurs de la cabale contre le recteur de l’UYI, le Pr. Maurice Aurélien Sosso. Mis à part les titres ronflants et parfois usurpés de « Docteur », « Professeur » Fridolin Nke et ses acolytes Mandob et Ndock Ndock représentent des anti-modèles pour les étudiants de l’UYI. Ces personnages fictifs du milieu universitaire qui écument les réseaux sociaux avec des insanités n’ont pour certains aucun fait d’arme professionnel comme celui qu’ils calomnient à longueur de journée, aucune épaisseur intellectuelle pour d’autres. La preuve ?
Mandob Damaris s’est vue retirer son Doctorat après que son propre directeur de thèse le Pr. Julius Oben a dénoncé sa tricherie par le vol des résultats de laboratoire de sa camarade le Dr. Ngondi. Fridolin Nke qui se fait passer pour un savant-moralisateur est celui qui fut reconnu éléments de preuve à l’appui, du harcèlement et du viol de l’étudiante Ngo Agbe. Son cursus académique rafistolé le crédite d’un Doctorat obtenu la même année qu’un Master, après plus de 10 années de recherche. Il s’agit la des faits et non des affabulations sans logique ni cohérence. Vivement que l’Université de Yaoundé 1 se débarrasse de ces imposteurs après les nombreuses mise en garde qui leur ont déjà été adressées.
S.B.M.