Foumban / En toute vérité: Le film des événements qui se sont produits samedi au Palais des Rois Bamoun
Ce qui s'est passé à Foumban n'a rien à voir avec les élucubrations de Rémy Ngono Bong et Nzuimanto. Retour sur la véracité des faits.
Tout se passe alors que le Sultan est en déplacement sur Bandjoun; il n'est même pas à Foumban, encore moins dans le Noun. Une horde d'individu a fait irruption à l'entrée du sultanat dans l'après midi du dimanche, se présentant comme des visiteurs d'une des reines du feu Sultan Ibrahim Mbombo Njoya, père de l'actuel Roi.
Les gardiens du palais vont leur refuser l'accès en l'absence du maître des lieux et aussi au vu du nombre important de ces visiteurs et surtout de leur qualité (des individus dénommés "les grillés" et dissimulant sur eux des armes blanches).
Ces visiteurs d'un autre genre vont appeler la reine à qui ils venaient rendre visite. Cette dernière va arriver et va insister pour qu'on laisse ses visiteurs entrer. Les gardiens vont seulement laisser la grand-mère passer et les deux jeunes garçons qui habitent régulièrement chez la reine en question.
Les "grillés" vont contourner pour escalader le palais par l'arrière à la tombée de la nuit. C'est ainsi qu'ils vont subir les foudres des gardiens du palais et d'autres notables venus des villages environnants et même lointains de Foumban pour le Nguon , qui n'étaient pas encore rentrés dans leurs villages respectifs.
Des responsables du palais vont faire appel aux forces de maintien de l’ordre qui viendront interpeller certains (03) et d'autres vont prendre la poudre d'escampette.
Les blessures observées dans les vidéos qui circules sont du faits de l'un des princes, fils de la reine, qui tenait à terrifier les gardiens du palais. Ces derniers essayant juste de maîtriser les badauds qui venaient d'escalader la barrière du sultanat, et ayant d'ailleurs appelé la police.
Sur des allégations d'un certain pape des "dossiers bleus du samedi rouge", la co-héritière qui aurait été chassée du royaume est mariée et se trouve dans son foyer depuis au moins 2 ans avant la mort de leur père, le feu Sultan Ibrahim Mbombo Njoya. Quant au voice qu'il attribue à un certain "Grand prince", qu'il qualifie de prince héritier, il s’agit en réalité de Seidou Popouna, qui se ferait appeler "grand prince Njoya". Il est un enfant de la rue qui avait été récupéré et adopté par l'un des frères du feu Roi Njimoluh Seidou, père de Ibrahim Mbombo Njoya. La succession étant patrilinéaire en pays Bamoun, il ne serait donc ni de près ni de loin désigné comme héritier ou prince héritier comme se fait dérouter le pape des samedis par un individu qu'il salut régulièrement, un certain docteur perdu à New York.
Seidou Popouna, dit "Grand prince" n'a jamais été de la famille royale. Rappelons que ce Pepouna Seidou dit “grand prince “ est un repris de justice ayant fuit le territoire américain pour se cacher au Ghana , cet originaire de Malantouon (dans les fins fonds du pays Bamoun), quand il sombrait dans la rue, les pieds remplis de chic et les vêtements pleins de poux a été accueilli par un prince du royaume .
Donc quand on se fait passer pour un journaliste grâce à la comédie des proverbes qu'on joue sur Rfi, en parfait nègre de maison, il est normal qu'on soit incapable de recouper la moindre information avant publication.
L'école est bien! Il ne suffit pas d'être éloquent, même si on passe le temps à massacrer le Français pour raconter partout qu'on est journaliste.
Le même Popouna Seidou, a plusieurs fois annoncé la mort du Président de la République, Son Excence Paul Biya qu'il interpelle aujourd'hui !!! De vrais bouffons, incohérents, malhonnêtes et bêtes, ces soit disant lanceurs d'alertes.
Par Armand Soussia, col. ext.