Cameroun - Assemblée nationale : Aucun désordre observé au Palais des verres

COMMENTAIRE. Volet moins connu, mais tout aussi essentiel dans la communication de la deuxième institution nationale, la Cellule de Communication et relation publique (Celcor) de l'Assemblée nationale du Cameroun joue un rôle essentiel dans les services de l'auguste chambre. Elle apporte un éclairage sur la compréhension et la perception de l'institution, ainsi que la personne qui la dirige.

Cameroun - Assemblée nationale : Aucun désordre observé au Palais des verres

Par Ekema Emmanuel Likine, Celcor

L'Assemblée nationale est gérée de manière efficace et efficiente depuis longtemps sous la conduite du Président Cavaye Yeguie Djibril. La mission politique de l'institution, qui est de légiférer et de contrôler l'action du gouvernement, a été accomplie majestueusement par l'homme à qui le Président Paul Biya a toujours fait confiance sans sourciller, le président de la Chambre. Cavaye Yeguie Djibril a donc gagné l'admiration du public à travers le monde en tant que législateur ayant servi le plus longtemps. Cette position unique dans le tableau d'affichage mondial des législateurs a sans aucun doute fait de lui une encyclopédie à tous points de vue. 

Les attributs qu'on lui prête suffisent à dire qu'il maîtrise parfaitement sa mission et qu'il ne peut être manipulé par quiconque, même pas par son neveu Boukar Abdourahim qui a tant appris et continue d'apprendre de son icône, père et champion, Cavaye Yeguie Djibril. Le très honorable président est en pleine forme. Il vient de d'achever la session parlementaire de juin dont il a présidé presque toutes les séances plénières. Il vient de conduire en fanfare sa communauté à la célébration de la fête du Mouton. 

Le Très Honorable Président a toujours été victime de la propagande négative de ceux qui lorgnent son poste et de ceux qui envient ses collaborateurs directs; mais il a résisté aux épreuves du temps parce que sa maîtrise de ses missions politiques et sa loyauté inconditionnelle envers le Chef de l'Etat, le Président Paul Biya, lui ont permis de garder la tête haute. 

Il est certain qu'un leader ne peut pas fonctionner de manière isolée. On sait aussi que le succès d'un leader dépend de ceux avec qui il choisit de travailler. C'est sur cette base que Boukar Abdourahim, l'actuel Directeur de Cabinet du Président a attiré les sorcières et les malfaiteurs derrière lui en raison de son équilibre, de son esprit zélé et de sa passion à toujours bien faire avancer les choses. La jalousie continue à son égard, qui s'est transformée en une chasse aux sorcières aujourd'hui, est due au fait que Boukar Abdourahim a fermé la porte aux manipulateurs du Président pour leurs gains égoïstes. Ce monsieur discret et de grand talent n'a pas besoin de falsifier ou de scanner la signature du Président pour recruter ou nommer des personnes à l'Assemblée nationale. 

Pourquoi s'engagerait-il dans un tel acte frauduleux alors que sa principale fonction est d'organiser le fonctionnement administratif de l'Assemblée nationale en collaboration avec le Secrétaire général ? Les esprits étroits qui ne savent pas quoi dire du Directeur de Cabinet doivent comprendre que sa fonction lui permet de faire des propositions de nominations et de recrutements au Président autant de fois que le besoin s'en fait sentir. Les perturbateurs et les lâches, qui veulent prendre le Président en otage, ont également dit des choses qui n'ont rien à voir avec la façon dont le Président gère ses affaires administratives. L'actuel directeur de cabinet est le plus ancien à avoir servi le très honorable président de l'Assemblée nationale.

L'information publiée par les ennemis de la paix concernant la mère du directeur de cabinet, qui serait allée supplier le président de l'Assemblée nationale pour que son fils soit maintenu, est totalement fausse et sans fondement. Le nom du journaliste de Cameroon Tribune qu'ils ont utilisé pour étayer leur complot diabolique de sabotage de M. Boukar Abdourahim n'existe pas parmi les journalistes de Cameroon Tribune dans le Nord ou ailleurs dans le pays. 

Dans ce sens, il est impossible que les articles qui n'ont aucun sens et qui ont été publiés au sujet du Président et de son Directeur de Cabinet soient attribués à un journaliste de Cameroon Tribune que par ignorance ils ont appelé Journaliste de la Sopecam. Nous savons que dans le monde politique, certains ont besoin de dénigrer les autres pour se grandir. Mais apprenons à dire la vérité sur les torts des autres plutôt que de fabriquer des mensonges qui rendent les auteurs stupides, désespérés et étroits d'esprit.

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