International - Mœurs : Potty Porta DUBAÏ : le symptôme d'une humanité déchéante...

Une influenceuse à Dubaï.

Manduquer de la merde, quelle monstruosité ! Combien l'exercice semble hors de portée, quand bien même il s'agirait de sa propre scatologie ! C'est intenable, insoutenable dirions-nous, hélas, c'est bel et bien devenu une possibilité ! L'Homme repousse de plus en plus les limites de l'infaisabilité, avec une perversité abyssale et satanisée qu'il en perd son humanité. In fine, c'est justement de cela qu'il s'agit. Au nombre des déshumanisations ayant droit de cité, une de plus est venue s'ajouter.
Cette infamante monstruosité, cette trucidation de l'humanité est la résultante de cette dialectique de l'ÊTRE et de l'AVOIR dans laquelle une certaine humanité a vite fait de faire son choix, celui de L'AVOIR, celui de L'AVOIR par la déshumanité. Voici venue l'ère de l'humain fosse sceptique, que dis-je, de l'humain à la gueule fosse sceptique. La gueule de bois ne leur aura pas suffi. Dans la violence d'une société et civilisation capitalisées, ne pas posséder, capitaliser, thésauriser, accumuler, c'est conjuguer avec être exécré, effacé, avec invisibilité, avec ne pas exister, ne pas pouvoir influencer... J'en veux pour preuve que la littérature sapientale biblique indiquait déjà les prémices métastasées de la déchéance de l'humanité, sa trajectoire excentrée des vraies valeurs lorsqu'elle dit par un proverbe : "Il y avait un sage dans une ville, personne ne l'écoutait parce qu'il était pauvre"... Quelle tristesse que de voir le détenteur d'une des vraies valeurs : la sagesse, ne jouir d'aucune reconnaissance, d'aucune visibilité, être impuissant à une once d'influence dans son champ social et sociétal, être aussi insignifiant, être aussi transparent. Car justement, sa société s'est dévoyée, elle est aveuglée, absorbée, fascinée par la matérialité, et elle ne juge désormais que par ce seul critère ! Combien ce proverbe reste d'actualité ! Ils veulent tous briller désormais, non pas par les valeurs, les vraies, des standards moraux et éthiques, mais au nombre de choses, de bien qu'ils vont posséder, au nombre de chiffres des sommes thésaurisées, à la capacité de flambée de la monnaie en illimité le temps d'une soirée. Tout le monde ira de son originalité, il faudra briller sous le critère de la matérialité !
Et cette perspective, vision perverse et erronée est inculquée dans la maisonnée, au niveau de la trame basique de la société : la famille. Oui, dans la dialectique de l'ÊTRE et l'AVOIR, je dois l'avouer, l'AVOIR l'a emporté. La matérialité mue les règles du jeu, usurpe les rangs, les titres et les prérogatives. Ne soyez pas surpris de voir un benjamin mettre toute une famille en génuflexion, usurper tant le droit d'aînesse que la paternité en raison de sa capacité à accumuler, à dépenser sans compter.
C'est désormais une course effrénée pour l'AVOIR, et comme bien souvent, ils se le disent et se motivent, c'est la fin qui justifiera les moyens... Le moyen pourra être cette déshumanisation, cette indicible humiliation par manducation de scatologie, mais le plus important est sauf se disent-ils, ils vont posséder, accumuler, éberluer, se la raconter, être respectés, se hisser au sommet, s'affirmer, influencer. Mais, dites donc, influencer qui en manduquant de la merde ? À manger de la merde, on ne peut avoir in fine qu'un comportement et une morale de merde ! Et forcément, une influence de merde ! C'est presque de la cause à effet. Ces influenceuses, adeptes du culte de la facilité, que dis-je, il faut se dédire, il n'y a aucune facilité à manduquer de la merde, c'est une atrocité, une monstruosité ! Ces adeptes du culte de la monstruosité, répandent de leur influence lubrique, perverse et satanisée sur les âmes les plus faibles de notre société, cette jeunesse de plus en plus désespérée et en mal de repère, et surtout de vrais modèles ! L'imposture glauque, c'est qu'elle s'est appropriée pour modèles ces pin-ups, ces top modèles parfois bichonnées à la gueule scatologique, qui vont finir par répandre dans notre société la psychose de la peur du baiser à une femme raffinée, hyper maquillée, liposuccée et parfumée qui fréquemment se paie le luxe de s'expatrier... 
Le chapelet de leurs monstruosités, perversités et contre-humanités est si lourd à égrener ! Entre scatophagie et zoophilie, "mesdames je me suis juste accouplée avec un chien, je n'ai tué personne", ont encore du toupet pour se justifier ! Tout dans la monnaie et dans le cul, rien dans les neurones, sinon vous sauriez mesdames, que vous tuez l'humanité ! J'espère  que vous resterez désormais emmurer dans le silence imposé par votre déshumanité, que vous vous tairez à jamais, restez terrées, disparaissez, les réseaux sociaux arrêtez d'agiter et de faire jaser par buzz instrumentalisé. Disparaissez ! Par votre influence viciée et satanisée, nous ne voulons plus être pollués !

Pourquoi homme voudrait-il faire manduquer sa scatologie à son alter ego ?

Désir et démonstration de puissance ? Déshumaniser l'autre ne me déshumanise-t-il pas de même ? Atteindre les abysses de l'humiliation d'autrui m'élève-t-il ? Ne serait-ce pas un type spécifique de refoulement de sa propre déshumanisation sur autrui ?
Ce dernier questionnement dans une société tout autant satanisée que capitalisée, avec sa dynamique de faire de tous des sacrificateurs éhontés à l'autel du culte du dieu argent, le dieu de ce monde, vaut certainement son pesant d'or. Ceux qui se doivent de déshumaniser, d'humilier, de sataniser pour donner de leur argent, comment ceux-là même le gagnent-ils ? À quel prix ? Au nom de quelle allégeance, quel sacrifice ? 
En effet, plusieurs enrichissements sont déshumanisants. Cécile Rhodes l'avait certainement compris lorsqu'il affirmait : "L'argent, c'est le sang des autres"...
Par ailleurs, bien que souvent et objectivement justifiables, plusieurs enrichissements sont tramés et dépendants de l'occulte, du satanisme, et nombre d'exigences rituéliques dans l'occulte et le satanisme sont des déshumanisations, et ce , parfois, par manducation de scatologie. Une obédience kabbalistique et triponctuée que l'on doit par exemple à Aleister Crowley, s'incline à de tels exercices de manducation scatologique. Je n'ai nullement la prétention de faire le tour du sujet, cependant, puisque l'argent est la plus grande gratification que le dieu de ce monde accorde à ses dévots et adeptes, au prix d'une rituélique de déshumanité, un quidam s'étant déshumanisé pour obtenir, pour conserver ou pour entretenir ses gratifications et autres possessions sataniques ou satanisées, ne peinera certainement pas à vouloir imposer sa propre déshumanité à son alter ego, à toute personne susceptible par lui d'être influencée...
Alain NDOUCK

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