JIF 2023 : l'université de Douala en chef d'orchestre
Haurizon News
La salle noire de monde est constituée majoritairement du personnel de l'université et des étudiants venus très nombreux pour s'abreuver à la source des invités d'horizons divers triés sur le volet.
C'est dans une ambiance bon enfant qu'a eu lieu ce 1er mars 2023 à l'amphi 100 de l'ESSEC de l'université de Douala, l'ouverture des festivités marquant la célébration de la journée internationale des droits de la femme.
Lors de son discours solennel d'ouverture le représentant du recteur de l'université de Douala a invité la gent féminine à faire preuve de responsabilité et de leadership pour l'émancipation de la jeune fille en générale et de la femme en particulier.
À la suite du représentant du recteur, le professeur Claude Bekolo doyen de la FSEGA a présidé les travaux dont le thème était centré sur la "Cryptomonnaie : outil digital en faveur de l'inclusion financière de la femme ?" n'a pas tardé de rappeler aux participants les avantages de la cryptomonnaie dans le développement d'un pays.
Il faut noter cette 38ème édition de la journée internationale des droits de la femme est essentiellement digitale et pour l'université de Douala, l'innovation a été d'inviter les instituts d'enseignements supérieurs sous tutelle de l'université de Douala. Car pour le commun des mortels, le digital est quelque chose qu'on ne peut s'en passer de nos jours.
Au début des exposés, le docteur Ngodi Atangana a fait un exposé édifiant sur la cryptomonnaie et le docteur Mbakop, enseignant à la FSEGA en a profité pour présenter l'historicité de la crytomonnaie. Pour finir, les participants ont pu retenir qu'il « faut se former avant tout engagement dans la cryptomonnaie afin d'éviter de se faire arnaquer ».
Vers la fin des exposés la parole a été donnée aux participants présents en salle de poser des questions et des réponses leur ont été apportées par le panel avant de laisser place au mini exposé centré sur les prestations dont on a droit à la CNPS.
