Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l'existence d'un virus pathogène

Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l'existence d'un virus pathogène
Photo illustrative d'une maladie virale

Ce que vous allez lire dans la série d’articles « La confirmation par écrit – Les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène » semble presque inconcevable. Cette série se composera de plusieurs articles, qui seront publiés au fur et à mesure, exclusivement sur Corona_Fakten

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.

Cet article devrait faire taire tous ceux qui nous reprochaient de créer un nuage de fumée pour ridiculiser les critiques. Car ce n’est pas nous qui soutenons encore et toujours ce narratif, ce sont ceux qui se refusent encore aujourd’hui à remettre l’existence des virus en question.

Mais il semble plutôt que la triste réalité soit que la plupart des critiques, qui considèrent que la question de l’existence des virus est ridicule ou qui l’ignorent intentionnellement, sont tout simplement poussés par la peur d’être mis à l’écart ou d’être catalogués comme des hurluberlus, et peut-être de perdre des « suiveurs ».

Petit conseil pour ces personnes : vous pouvez oublier vos craintes. Nous avions et nous avons les connaissances requises pour traiter ce sujet, pour le proclamer à la face du monde et même pour offrir 1,5 millions d’euros à qui pourra citer une publication conforme aux règles scientifiques.

Il ne peut y avoir qu’une seule raison pour laquelle cet argent n’a pas encore été réclamé – ce montant est d’ailleurs supérieur à celui du prix Nobel : personne ne connaît de publication conforme aux règles prescrites par la science !

Des compagnons de lutte et nous, de Corona_Fakten, avons écrit à différents chercheurs, virologues, biologistes moléculaires, avocats, médias et à d’autres personnes en les priant de nous citer la ou les publications apportant les preuves scientifiques de l’existence d’un coronavirus, y compris les essais de contrôle documentés de toutes les étapes réalisées pour cette démonstration.

Mais jusqu’ici personne n’a manifestement été en mesure de nous répondre, ce qui en dit très long. Et, a contrario, cela signifie que les responsables se reposent aveuglément sur les déclarations de tiers, sans vérifier eux-mêmes ces affirmations et en les acceptant sans la moindre critique comme des faits parfaitement établis.

Ceci est malheureusement notre triste réalité quotidienne !

Pour moi, les raisons de ce dilettantisme sont claires :

Ou bien :

  • ceux qui étaient censés rédiger les publications nécessaires sont simplement trop paresseux ;
  • ceux qui étaient censés lire ces publications étaient trop « occupés » ;
  • ils ont été si pressés par le temps du fait de la panique provoquée par les médias qu’ils n’ont pas pris le temps d’éliminer l’énorme quantité d’erreurs de leurs publications ;
  • ils n’étaient pas en mesure de comprendre la teneur des publications les plus importantes ;

Ou bien :

  • ils ont agi de manière délibérée, intentionnellement – ce qui serait la pire de toutes les variantes !

Pourquoi doutons-nous de l’existence du SARS-CoV-2 et de tous les autres prétendus virus pathogènes ?

Nous allons essayer de vous expliquer brièvement, chers lecteurs, pourquoi l’existence même des prétendus virus pathogènes est mise en doute, et pourquoi ce fait est le point le plus important de tous ceux qui circulent actuellement parmi les personnes qui doutent des virus.

La raison certainement la plus déterminante est qu’avec la réfutation de l’affirmation de la découverte d’un nouveau virus pathogène, toutes – et réellement toutes – les mesures et restrictions, ainsi que toutes les vaccinations seraient immédiatement balayées d’un revers de la main et ne constitueraient rien d’autre qu’un danger pour la santé et la vie des personnes !

Une autre approche pourrait être que la reconnaissance du fait que cette idée de virus dangereux flottant dans l’air n’est qu’un fantasme permettrait d’ouvrir une nouvelle voie pour une médecine raisonnable pensée pour l’homme, dans laquelle les causes de la « maladie » et les « symptômes » seraient clairs et compréhensibles – ce qui retirerait leurs moyens d’existence à de nombreux secteurs de l’industrie pharmaceutique.

Les discussions sur les tests, les statistiques (nombre de morts, de personnes réellement « malades »), les mesures et autres permettent toujours de dévier sur des argumentations qui à leur tour débouchent sur de nouvelles discussions sans fin…

En d’autres mots : tous ceux qui ne posent pas la question de l’existence des virus soutiennent automatiquement le narratif des virus pathogènes, qui n’a JAMAIS été prouvé de manière scientifique. Ces personnes critiques contribuent ainsi, peut-être inconsciemment, à alimenter en permanence la pandémie.

Pourquoi sommes-nous si sûrs qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un virus pathogène ?

La réponse à cette question est presque trop simple, même si cela semble inconcevable.

En 1998, du fait de falsifications nombreuses, systématiques et importantes dans la recherche sur les infections et le cancer, des « propositions pour la garantie de bonnes pratiques scientifiques » ont été rassemblées et publiées dans un système réglementaire. Elles ont été rédigées en 1997 par une commission internationale à la demande de la Deutsche Forschungsgesellschaft (DFG) et précisées par les universités et la Conférence des Recteurs allemands, publiées en version papier et sur l’Internet, et rendues obligatoires en Allemagne pour toutes les institutions scientifiques d’État et tous les scientifiques. Ces règles et prescriptions font partie du contrat de travail de chaque chercheur.

La science doit être compréhensible par chacun et falsifiable (infalsifiable ?).

Malheureusement, ces règles sont ignorées en permanence dans la virologie, ce qui conduit à des comportements anti-scientifiques.

L’autre point est la découverte même d’un virus pathogène.

Différentes étapes sont nécessaires pour permettre une telle affirmation. Si ces étapes ne sont pas réalisées, il n’est pas possible de parler d’une preuve scientifique irréfutable, mais tout au plus d’une spéculation – et il y a un gouffre d’une spéculation à une preuve !

Pour affirmer qu’une structure bien spécifique est responsable de l’apparition de symptômes bien spécifiques, il faut qu’au moins trois étapes aient été réalisées et documentées en intégralité :

Isolation de la prétendue structure

La structure doit être isolée à partir des prélèvements d’un patient malade. Elle doit être isolée au sens propre de ce terme, c’est-à-dire séparée de tous les autres constituants du prélèvement. Déjà Luc Montagnier savait cela et l’a confirmé pour le HIV. Cette étape est obligatoire car, dans le cas contraire, il n’est pas possible d’affirmer que les fragments de gènes séquencés qui ont été obtenus font partie d’une seule structure.

Si l’échantillon « isolé » comporte encore un autre matériel génétique, il n’est pas possible d’attribuer les séquences génétiques obtenues. L’affirmation qu’il s’agit ici d’une procédure standard dans la virologie n’améliore en rien cette situation. Au contraire, elle démontre l’aveuglement de la virologie.

Ce genre de séquençage produit de nombreuses séquences génétiques courtes à partir d’un mélange de toutes les possibilités. Il est donc impossible de déterminer le vrai responsable.

Le brin de génome du prétendu virus obtenu doit être unique.

Les séquences génétiques séquencées, ou l’assemblage de celles-ci (alignement de séquences) en une longue séquence génétique présentée ensuite comme le génome viral ne doivent pas :

  • être trouvées dans l’ARN humain/microbien obtenu par lavage pulmonaire d’une personnes en bonne santé,
  • être trouvées chez une personne souffrant d’une autre affection pulmonaire,
  • être trouvées chez une personne ayant été testée négative au SARS-CoV-2,
  • être trouvées dans de l’ARN issu d’échantillons de contrôle datant de l’époque où le virus du SARS-CoV-2 n’était pas encore connu.

Toutes les étapes des expériences de contrôle doivent être réalisées et documentées.

La première expérience de contrôle serait, comme décrit ci-dessus, la construction du génome sur la base d’échantillons d’origines diverses.

La deuxième expérience de contrôle résultant de la logique scientifique est de contrôler de manière approfondie, au moyen de la technique PCR (real-time RT-PCR) développée, si des échantillons cliniques de personnes souffrant d’autres maladies que celles attribuées au virus et des échantillons de personnes, d’animaux et de plantes en bonne santé ne s’avèrent pas eux aussi « positifs » à ce test.

La troisième expérience de contrôle concerne l’effet cytopathique provoqué en laboratoire, dont il est affirmé qu’il est dû à un virus. Ici non plus, aucun groupe de contrôle n’est disponible.

***

Nous avons questionné aussi bien des virologues et des épidémiologistes critiques que des défenseurs des mesures contre le coronavirus, aucun n’a été en mesure de citer une seule publication qui aurait respecté les règles du travail scientifique.

Prof. Sucharit Bhakdi & Prof. Karina Reiss

Commençons par deux scientifiques respectés opposés aux mesures, dont l’un n’a ensuite plus été sûr si le « premier » SARS-CoV-2 en Chine n’a jamais été isolé…

Après que le Prof. Bhakdi et son épouse, le Prof. Karina Reiss ont clairement répondu oui à la question du public

« si le SARS-CoV-2 avait vraiment été isolé » et prétendaient même s’appuyer sur des expérimentations animales réussies, nous leur avons demandé de manière ciblée s’ils pouvaient nous citer la ou les publications scientifiques, documentant la preuve, c’est-à-dire l’isolation, d’un nouveau coronavirus, avec les expérimentations animales correspondantes.

La première réponse du Prof. Bhakdi a été :

« Merci de télécharger notre article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag (éditions Goldegg). L’information se trouve dans la citation 5. Les souches du SARS-CoV-2 peuvent être obtenues auprès de l’European Virus Archive Global. »

Malheureusement, son message renvoyait simplement à une étude de synthèse et pas à des publications directes, ce qui n’avait que peu d’utilité et renforçait le soupçon qu’aucun des deux ne pouvait citer de publication.

Nous avons alors posé des questions plus concrètes, de manière à éviter toute possibilité d’échappatoire :

Question :

« Pouvez-vous me citer une publication concrète affirmant l’existence d’un SARS-CoV-2 avec des preuves scientifiques et pouvez-vous nous indiquer les passages dans cette publication qui documentent la démonstration ET les expériences de contrôle prouvant que ce sont bien des séquences nucléotidiques virales et non cellulaires qui ont été alignées en un long génome viral. »

Et c’est ici que les choses deviennent intéressantes.

Le Prof. Bhakdi & le Prof. Reiss nous ont cité la publication suivante comme preuve de la démonstration de l’isolation d’un SARS-CoV-2, avec ses expériences de contrôle :

Publication : « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea »

Nous avons demandé à l’auteur de la publication lui-même si les prises de vue au microscope électronique réalisées dans ses expériences in vitro représentaient des virus purifiés, ce que celui-ci a confirmé par écrit

Auteur ayant répondu : Wan Beom Park
Date : 19 mars 2020

Réponse : « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. »

Traduction :

« Nous n’avons pas obtenu de prise de vue au microscope électronique montrant le degré de purification. »

Toute personne examinant les images constate immédiatement qu’il n’y a pas de structures sous forme isolée.

Il est affirmé ici qu’une structure virale a été photographiée à l’intérieur de cellules (et non isolée, comme l’auteur de l’étude l’a confirmé en personne). L’affirmation que cette étude démontre un virus sous forme isolée n’est à aucun moment corroborée.

L’attribution d’une pathogénicité à une structure sans avoir isolée celle-ci au préalable, ni réalisé les expérimentations de contrôle nécessaires, ne doit et ne peut pas être qualifiée de scientifique !

Par ailleurs, aucune expérimentation de contrôle n’a été réalisée dans le cadre de cette étude, ce que nous avions cependant mentionné et demandé explicitement, et ce qui constitue une obligation pour tout scientifique.

La question se pose ici de savoir pourquoi le Prof. Bhakdi et le Prof. Karina Reiss ne sont pas, ou ne veulent pas être au courant de ce fait, et pourquoi ils ont malgré tout voulu nous faire accepter cette étude comme preuve.

Ce fait doit être clair pour tout le monde maintenant : aucun des deux n’a fait de vérifications, ou ils ignorent ce fait pour d’autres motifs. Tous deux bafouent ainsi les règles et les obligations de tout scientifique.

Ce qui nous offusque personnellement, c’est que tous deux continuent d’affirmer publiquement que le virus existe, que cela a été prouvé depuis longtemps, qu’ils évitent toute discussion avec nous à ce sujet, mais qu’eux-mêmes ne sont pas en mesure de citer une seule publication.

Après avoir fait remarquer cela au Prof. Reiss et au Prof. Bhakdi, ils nous ont à nouveau renvoyés à leur article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag « citation 5 », avec l’ajout :

« Voici ce que nous pouvons vous proposer. »

En d’autres mots, ils ne peuvent rien proposer, ils n’ont aucune preuve, mais ils persistent à affirmer, comme de rien, que le virus existe.

Et c’est exactement là que se situe le problème de la grande majorité d’entre eux. Ils n’ont rien vérifié, mais ils refusent toujours toute discussion.

Si nous nous résumons concrètement :

La répétition de quelque chose de faux et de mensonger ne rend pas soudain cette chose juste et vraie !
Monsieur Bhakdi, ce que vous proposez est tout à fait non scientifique !

Il est évident et vérifiable par tout un chacun que les auteurs n’ont fait qu’additionner de courtes séquences cellulaires pour obtenir quelque chose de plus long, qu’ils ont alors fait passer pour le génome du virus.

Les expériences de contrôle obligatoires imposées par la science pour exclure tout artefact issu de la cellule n’ont pas été réalisées !

Ce seul fait devrait déjà vous faire comprendre que « votre proposition » est sans valeur.

***

Cher lecteur, lisez vous-même l’intégralité de la correspondance par courriel

Prof. Marcel Tanner

Epidémiologiste, chercheur dans le domaine de la malaria et spécialiste de santé publique suisse. Il est Président de la Fondation R. Geigy, Président des Académies des Sciences suisses et Directeur Emérite de l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) et ancien chef de la task-force Corona.

Après une interview réalisée en commun (Samuel Eckert et l’équipe de Corona_Fakten) du Prof. Tanner (Président des Sciences Académiques), celui-ci a confirmé plusieurs points élémentaires :

  • que le test du Prof. Drosten n’est pas conforme aux normes scientifiques requises et qu’il génère de nombreux résultats faussement positifs, qui ont mené à cette panique du corona. Le Prof. Tanner a apaisé les choses en déclarant qu’il fallait laisser le passé – c’est-à-dire le déclencheur — en paix, car il n’est pas possible de revenir en arrière. (min. 21:05 à min. 23:00).
  • le Prof. Tanner a également confirmé (à la min. 53:15) qu’il ne suffit pas de réaliser un alignement pour prouver l’existence d’un virus pathogène. (Exactement ce qui a été fait en Chine)
  • La conversation a entre autres porté sur l’existence actuelle d’une publication présentant une isolation du virus du SARS-CoV-2. Le Prof. Tanner nous a renvoyés au Prof. Volker Thiel de l’Institut de Virologie et d’Immunologie de l’Université de Berne. Notre communication par courriel a montré (voir plus bas) qu’ici non plus aucune preuve de cette isolation n’a pu être présentée. Nous pouvons prouver cette déclaration finale par notre correspondance par courriel. Nous sommes ainsi exactement dans la situation que le die Prof. Tanner a décrite de manière étonnamment honnête lors de notre entretien :

« Et si l’on arrive alors à la conclusion qu’il n’existe vraiment aucun isolat… Dans ce cas, nous avons un problème ! »

(min. 56:14 à min. 56:27)

Ce que nous apprécions grandement chez le Prof. Tanner, c’est qu’il n’a jamais hésité à entamer une discussion avec nous.

***

IVI Suisse – Prof. Thiel, Prof. Schweizer

Je résume les points principaux de la correspondance :
Notre demande initiale au Prof. Thiel comprenait cinq questions simples :

  1. Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
  2. Avez-vous publié un article à ce sujet et sinon à quelles publications vous référez-vous ?
  3. Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme « isolation » ?
  4. Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
    Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante :
  5. Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

Ni Volker Thiel ni personne d’autre de son institut n’a pu présenter de publication propre dans laquelle l’existence d’un nouveau virus pathogène a pu être prouvée conformément aux règles scientifiques.

• Ils ont confirmé que les virologues n’isolent pas réellement, et ils admettent ainsi que l’origine des séquences génétiques séquencées ne peut pas être attribuée !

• Nous avons reçu dans un premier temps seulement des liens Wikipédia et des fiches internes sur les bases de l’isolation des virus.

• L’IVI a confirmé en complément qu’une simple « isolation » a été réalisée dans un mélange de prélèvements de patients et de cultures cellulaires.

• L’IVI affirme simplement, sans apporter un seul argument approprié dans ce sens, que ce serait une absurdité de prétendre qu’il n’existe pas de virus du simple fait que l’on ne l’aurait pas purifié…

• Nous n’avons reçu de réponse à aucune de nos cinq questions. Par exemple :

Votre réponse à la question 2 nous renvoie à une fiche de travail qui décrit la procédure pour les profanes. Nous demandions des publications scientifiques auxquelles vous vous référez.

Pour la preuve de l’existence d’un SARS-CoV-2, nous avons demandé une publication de l’Institut même, le Prof. Tanner ayant déclaré que l’IVI avait une publication propre, malheureusement l’IVI nous a renvoyé vers une publication de Munich. Travail de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/)

Nous avions à l’origine écrit au Prof. Thiel et pas à Mr. Schweizer et, comme Mr. Schweizer ne semblait apparemment pas en mesure ou pas disposé à répondre à nos questions, nous avons posé des questions plus concrètes et nous avons insisté de manière explicite pour obtenir une réponse du Prof. Thiel.

Ci-dessous le libellé de notre courriel : [lire la suite de l'article à la source]

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