Affaire Baltasar : La présidence de la Guinée Équatoriale frappe fort après la diffusion des vidéos compromettantes de Baltasar Ebang Engonga.
Les mesures drastiques du gouvernement équato-guinéen
Sur son compte X, le vice - président, Teodoro Nguema Obiang Mangue a écrit : « Aujourd'hui, nous allons procéder à la suspension immédiate de tous les fonctionnaires qui ont eu des relations sexuelles dans les bureaux des ministères du pays. Le gouvernement prendra des mesures sévères contre ces actes, car ils constituent une violation flagrante du Code de conduite et de la loi sur l'éthique publique. Cette action constitue une étape décisive dans notre politique de tolérance zéro envers les comportements portant atteinte à l’intégrité de la fonction publique. L’éthique et le respect sont fondamentaux dans notre administration, et nous ne permettrons pas qu’un comportement irresponsable compromette la confiance des citoyens. La responsabilité et le professionnalisme doivent être les piliers de notre travail en tant que serviteurs de l’État. ».
La situation s'est faite ressentir sur l'étendue du globe. Depuis octobre, Baltasar Ebang Engonga, ancien directeur général de l'Agence nationale d'investigation financière (Anif) de Guinée équatoriale a été impliqué dans un scandale de s£xt@pe sans précédent. “Bello”, comme il se fait appeler est cité par nos confrères du quotidien équato-guinéen Ahoraeg, a eu des relations sexuelles avec plusieurs, certaines mariées, et a filmé ces ébats sexuels avec le consentement de ses compagnons. Les vidéos erotiques en circulation sur la plateforme Telegram montrent certaines scènes de Baltasar Ebang Engonga entretenir des rapports intimes, où le voit coucher avec une femme à côté du drapeau national.